"Il faudrait boire un milliard de litres d'eau du Rhin pour absorber l'équivalent d'un comprimé d'aspirine." De la Seine, de la Tamise ou de n'importe quel fleuve. L'équation a été posée lors du symposium international sur "les perturbateurs endocriniens et les résidus de substances pharmaceutiques dans les milieux aquatiques", organisé, mi-février, à Berlin, par le Centre de compétence sur l'eau de la ville. Le propos se veut rassurant. Il ne reflète que partiellement la réalité. [Ver noticia completa en Le Monde]